Suivre les bonnes métriques financières est essentiel pour assurer la santé et la prospérité d’une entreprise. Les KPIs sont des indicateurs clés de performance qui permettent aux dirigeants de mesurer l’efficacité et la rentabilité de leurs opérations. Nous vous présentons ici les 10 KPIs financiers incontournables que chaque entreprise devrait surveiller attentivement.
Les 10 KPIs financiers
Chiffre d’affaires : indicateur essentiel pour mesurer les ventes totales réalisées par une entreprise.Rentabilité : capacité de l’entreprise à générer des profits, mesurée par des ratios comme la marge brute et la marge nette.Trésorerie : montant des liquidités disponibles pour couvrir les obligations financières à court terme.Cash-flow : flux de trésorerie qui montre la variation nette des liquidités au cours d’une période donnée.Valeur actuelle nette (VAN) : outil pour évaluer la rentabilité d’un investissement en actualisant les flux de trésorerie futurs.Taux de rendement interne (TRI) : mesure de la rentabilité d’un projet ou d’un investissement.Période de récupération : temps nécessaire pour récupérer l’investissement initial.Seuil de rentabilité : chiffre d’affaires minimum à atteindre pour couvrir les coûts.BFR (besoin en fonds de roulement) : indicateur des besoins de financement à court terme.Indicateurs financiers généraux : comprend des ratios tels que le retour sur capitaux propres (ROE) et le ratio d’endettement.
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Face à un environnement économique en constante évolution, se former est devenu indispensable pour tout entrepreneur souhaitant réussir dans la gestion de son entreprise. Les compétences requises pour diriger une entreprise vont bien au-delà des connaissances techniques liées au produit ou au service proposé. Une bonne maîtrise des aspects financiers, juridiques et opérationnels est essentielle pour prendre des décisions éclairées.
La formation « Créer et gérer son entreprise« , que nous proposons chez EFC Formation, répond à ce besoin crucial. Elle permet d’acquérir une vision globale des différents leviers de gestion, notamment la gestion budgétaire, l’analyse des KPIs financiers, et l’élaboration de stratégies de développement. En comprenant ces fondamentaux, les entrepreneurs sont mieux préparés à anticiper les défis, à optimiser leurs ressources, et à innover dans un marché compétitif.
De plus, cette formation favorise le développement d’un réseau professionnel et l’échange d’expériences entre participants, ce qui enrichit encore davantage le parcours d’apprentissage. En investissant dans votre formation, vous vous dotez des outils nécessaires pour piloter votre entreprise vers le succès durable.
Découvrons maintenant plus précisemment ce qui se cache derrière chacun de ces indicateurs.
1- Chiffre d’affaires
Le chiffre d’affaires représente le montant total des ventes de biens et services réalisés par une entreprise sur une période donnée. Il s’agit d’un indicateur crucial car il reflète directement la capacité de l’entreprise à générer des revenus. En analysant l’évolution du chiffre d’affaires, on peut identifier les tendances de croissance ou de déclin.
Suivre régulièrement le chiffre d’affaires permet également de comparer les performances avec celles des périodes précédentes et d’ajuster les stratégies commerciales en conséquence. Cela aide à déterminer quels produits ou services sont les plus rentables et où concentrer les efforts marketing.
Le calcul du Chiffre d’affaire :
Le chiffre d’affaires (CA) se calcule en multipliant le prix de vente unitaire d’un produit ou service par le nombre d’unités vendues pendant une période donnée.
Voici la formule :
Chiffre d’affaires = Prix de vente unitaire × Quantité vendue
Exemple de calcul :
Si une entreprise vend un produit à 50 € l’unité et en vend 1 000 exemplaires, le chiffre d’affaires serait calculé ainsi :
CA=50€×1000=50000€
Dans cet exemple, le chiffre d’affaires est de 50 000 €.
2- Rentabilité
La rentabilité mesure la capacité d’une entreprise à générer des profits à partir de ses opérations. Elle se calcule généralement à travers deux ratios principaux : le taux de marge brute et le taux de marge nette. Ces ratios mettent en évidence la proportion des revenus restants après avoir couvert certains coûts essentiels.
Plus une entreprise est rentable, mieux elle est positionnée pour réinvestir dans sa croissance, rembourser ses dettes et distribuer des dividendes à ses actionnaires. La rentabilité est donc un KPI fondamental pour évaluer la solidité financière d’une organisation.
Calcul du taux de marge brute :
Si une entreprise réalise un chiffre d’affaires de 100 000 € et que le coût des ventes est de 60 000 €, le taux de marge brute serait calculé ainsi :
Taux de marge brute = ((100000€−60000€) / 100000€) × 100 = 40%
Dans cet exemple, la marge brute est de 40%, ce qui signifie que pour chaque euro de vente, l’entreprise garde 0,40 € après avoir couvert les coûts de production.
Calcul du taux de marge nette :
Si une entreprise a un résultat net (bénéfice) de 15 000 € pour un chiffre d’affaires de 100 000 €, le taux de marge nette serait calculé ainsi :
Taux de marge nette = (15000€ / 100000€) ×100=15%
Dans cet exemple, la marge nette est de 15%, ce qui montre que pour chaque euro de vente, l’entreprise génère un bénéfice net de 0,15 €.
3- Trésorerie
La trésorerie désigne l’ensemble des liquidités disponibles de l’entreprise à un instant donné. C’est un indicateur crucial pour s’assurer que l’entreprise dispose suffisamment de fonds pour répondre à ses obligations financières à court terme. Gérer efficacement la trésorerie est primordial pour éviter tout risque de liquidation.
Une bonne gestion de la trésorerie permet aussi de planifier des investissements futurs et de bénéficier d’opportunités de marché sans avoir à recourir à des financements externes coûteux. Le suivi régulier de ce KPI aide à maintenir un équilibre financier sain.
Calcul de la trésorerie nette :
Elle peut être calculée à l’aide de la formule suivante :
Trésorerie nette = Encaissements − Décaissements
Détail du calcul :
- Encaissements : les entrées de trésorerie (ventes, prêts, subventions, etc.).
- Décaissements : les sorties de trésorerie (achats, charges, salaires, remboursement de dettes, etc.).
Exemple de calcul :
Si une entreprise a reçu 120 000 € d’encaissements et a effectué des décaissements à hauteur de 80 000 € au cours d’une période donnée, la trésorerie nette serait calculée ainsi :
Trésorerie nette = 120000€ − 80000€ = 40000€
Dans cet exemple, l’entreprise dispose d’une trésorerie nette de 40 000 €, ce qui signifie qu’elle a un excédent de liquidités après avoir payé toutes ses obligations à court terme.
4- Cash-flow
Le cash-flow ou flux de trésorerie est une mesure essentielle qui reflète la variation nette des liquidités au cours d’une période. Ce KPI met en évidence la capacité de l’entreprise à générer des liquidités suffisantes pour financer ses opérations, rembourser ses dettes et investir dans de nouveaux projets.
En surveillant le cash-flow, les entreprises peuvent anticiper les problèmes potentiels de liquidité et prendre des décisions éclairées pour optimiser leurs finances. Un flux de trésorerie positif indique que l’entreprise a une bonne maîtrise de ses dépenses et de ses recettes.
Calcul du cash-flow opérationnel :
Formule de calcul du cash-flow opérationnel :
Cashflow opérationnel = Résultat net + Amortissements + Provisions − Variation du besoin en fonds de roulement (BFR)
Exemple de calcul :
Si une entreprise a :
- un résultat net de 30 000 €,
- des amortissements de 5 000 €,
- une provision pour risque de 2 000 €,
- et que la variation du BFR est de 3 000 €,
Le cash-flow opérationnel serait calculé ainsi :
Cash-flow = 30000€ + 5000€ + 2000€ − 3000€ = 34000€
Dans cet exemple, le cash-flow de l’entreprise est de 34 000 €, ce qui montre que l’entreprise génère suffisamment de liquidités pour couvrir ses besoins opérationnels.
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5- Valeur actuelle nette (VAN)
La valeur actuelle nette (VAN) est un indicateur financier utilisé pour évaluer la rentabilité d’un investissement ou d’un projet. Elle se calcule en actualisant les flux de trésorerie futurs pour obtenir leur valeur au moment présent. Une VAN positive signifie que le projet génère davantage de gains que de dépenses, et est donc considéré comme profitable.
Utiliser la VAN permet de comparer différents projets entre eux et de sélectionner celui qui apportera le meilleur rendement pour l’entreprise. Cet outil est particulièrement utile lors de la prise de décision pour des investissements majeurs.
Calcul de la valeur actuelle nette :
Où :
- tt = la période (généralement en années),
- rr = le taux d’actualisation (ou taux de rendement attendu),
- Flux de treˊsorerie tFlux de treˊsoreriet = les flux de trésorerie générés à chaque période,
- Investissement initialInvestissement initial = le montant investi au début.
Exemple de calcul :
Imaginons qu’une entreprise investisse 100 000 € dans un projet et que les flux de trésorerie prévus sur 3 ans soient les suivants :
- Année 1 : 40 000 €
- Année 2 : 50 000 €
- Année 3 : 60 000 €
- Le taux d’actualisation est de 10% (soit r=0,10r=0,10).
Le calcul de la VAN serait :
VAN=40 000(1+0,10)1+50 000(1+0,10)2+60 000(1+0,10)3−100 000
VAN=40 0001,10+50 0001,21+60 0001,331−100 000
VAN=36 364+41 322+45 092−100 000
VAN=122 778−100 000=22 778 €
Dans cet exemple, la VAN est de 22 778 €, ce qui signifie que le projet est rentable et devrait être envisagé.
6- Taux de rendement interne (TRI)
Le taux de rendement interne (TRI) est un autre KPI important qui sert à évaluer la rentabilité d’un projet ou d’un investissement. Il correspond au taux d’actualisation pour lequel la VAN est égale à zéro. Autrement dit, c’est le taux de rentabilité exacte attendu du projet.
Comparer le TRI à des critères de performance établis ou à d’autres opportunités d’investissement permet de déterminer si un projet mérite d’être poursuivi. Un TRI élevé indique généralement un retour sur investissement attractif.
Calcul du taux de rendement interne :
Le TRI ( taux de rendement interne) est le taux rr pour lequel la VAN est égale à zéro, soit :
Le TRI est donc trouvé par itération ou avec des logiciels financiers qui calculent ce taux.
Exemple de calcul :
Supposons qu’une entreprise investisse 100 000 € dans un projet qui génère les flux de trésorerie suivants sur 3 ans :
- Année 1 : 40 000 €
- Année 2 : 50 000 €
- Année 3 : 60 000 €
Le TRI est le taux rr qui satisfait l’équation suivante :
0=40 000(1+r)1+50 000(1+r)2+60 000(1+r)3−100 000
En résolvant cette équation (ce qui nécessite souvent l’usage d’un tableur ou d’un logiciel), on obtient un TRI d’environ 18,1%.
Interprétation du TRI :
- TRI > Taux de rendement attendu : le projet est rentable et mérite d’être envisagé.
- TRI = Taux de rendement attendu : le projet atteint les attentes minimales de rendement, mais n’apporte pas de surplus.
- TRI < Taux de rendement attendu : le projet n’est pas rentable et devrait être rejeté.
7- Période de récupération
La période de récupération mesure le temps nécessaire pour récupérer la somme investée dans un projet. Plus cette durée est courte, plus vite l’investissement générera des bénéfices. C’est un indicateur particulièrement prisé dans les environnements incertains ou les secteurs à forte volatilité.
Analyser ce KPI aide les entreprises à gérer leurs risques financiers et à prioriser les investissements offrant un retour rapide. Cela est crucial pour assurer la pérennité des flux de trésorerie.
Calcul de la période de récupération :
Période de récupération = Investissement initial / Flux de trésorerie annuels
Lorsque les flux de trésorerie sont constants chaque année, il suffit de diviser l’investissement initial par les flux de trésorerie annuels. Si les flux sont variables, il faut additionner les flux de trésorerie année par année jusqu’à ce que la somme égale l’investissement initial.
Exemple de calcul :
Supposons qu’une entreprise investisse 100 000 € dans un projet qui génère des flux de trésorerie annuels constants de 25 000 €.
Le calcul de la période de récupération serait :
Peˊriode de reˊcupeˊration=100 000 €25 000 €=4 anneˊes
Cela signifie que l’investissement initial sera récupéré en 4 ans.
Cas avec flux de trésorerie variables :
Si les flux de trésorerie varient d’une année à l’autre, disons :
- Année 1 : 20 000 €
- Année 2 : 30 000 €
- Année 3 : 40 000 €
- Année 4 : 30 000 €
Pour déterminer la période de récupération :
- Année 1 : 20 000 € (reste 80 000 € à récupérer),
- Année 2 : 30 000 € (reste 50 000 € à récupérer),
- Année 3 : 40 000 € (reste 10 000 € à récupérer),
- Année 4 : 30 000 € (l’investissement est entièrement récupéré dans cette année).
La période de récupération est donc comprise entre la 3ème et la 4ème année. Il faut environ 3,33 ans pour récupérer l’investissement (3 ans complets et un tiers de la 4ème année).
Interprétation de la période de récupération :
- Période de récupération courte : l’investissement est rapidement récupéré, ce qui réduit le risque financier.
- Période de récupération longue : l’investissement met plus de temps à générer un retour, ce qui peut être plus risqué dans un environnement incertain.
8- Seuil de rentabilité
Le seuil de rentabilité correspond au niveau de chiffre d’affaires nécessaire pour couvrir tous les coûts fixes et variables. Atteindre ce seuil signifie que l’entreprise commence à réaliser des bénéfices. Connaître son seuil de rentabilité est vital pour fixer des objectifs de vente réalistes et élaborer des stratégies de pricing efficaces.
Calculer et analyser régulièrement le seuil de rentabilité permet de surveiller de près les performances opérationnelles et d’adapter rapidement les actions en cas de changement de conditions de marché.
Calcul du seuil de rentabilité :
Il peut être calculé de deux manières principales : en unités vendues ou en chiffre d’affaires.
- Seuil de rentabilité en unités vendues :
Seuil de rentabilité (en unités) = Coûts fixes totaux / (Prix de vente unitaire−Coût variable unitaire)
- Seuil de rentabilité en chiffre d’affaires :
Seuil de rentabilité (en €) =Coûts fixes totaux / Taux de marge brute
où le taux de marge brute est calculé comme suit :
Taux de marge brute = (Prix de vente unitaire − Coût variable unitaire) / Prix de vente unitaire
Exemple de calcul :
Supposons qu’une entreprise ait les informations suivantes :
- Coûts fixes totaux : 50 000 €
- Prix de vente unitaire : 100 €
- Coût variable unitaire : 60 €
Calcul du seuil de rentabilité en unités :
- Calcul de la marge brute unitaire : Marge brute unitaire=100 €−60 €= 40€
- Calcul du seuil de rentabilité : Seuil de rentabilité (en unités) = 50 000 € / 40 € =1 250 unités
Cela signifie que l’entreprise doit vendre 1 250 unités pour couvrir tous ses coûts.
Calcul du seuil de rentabilité en chiffre d’affaires :
- Calcul du taux de marge brute :Taux de marge brute =40 € / 100 € = 0,4 ou 40%
- Calcul du seuil de rentabilité en chiffre d’affaires : Seuil de rentabilité (en €) = 50000€ / 0,4 =125 000 €
L’entreprise doit donc générer 125 000 € de chiffre d’affaires pour atteindre son seuil de rentabilité.
Interprétation du seuil de rentabilité :
- Seuil atteint : l’entreprise couvre tous ses coûts et commence à réaliser des bénéfices.
- Seuil non atteint : l’entreprise subit des pertes.
9- BFR (besoin en fonds de roulement)
Le besoin en fonds de roulement (BFR) est un indicateur qui évalue l’écart entre les actifs circulants et les passifs circulants. Il reflète la nécessité de financement à court terme pour couvrir les décalages entre les encaissements et les décaissements.
Un BFR élevé peut indiquer des problèmes de liquidité, alors qu’un BFR faible montre une bonne gestion des ressources courantes. Optimiser le BFR est indispensable pour améliorer la flexibilité financière de l’entreprise.
Calcul du BFR :
BFR = Actifs circulants − Passifs circulants
- Actifs circulants : ce sont les ressources qui seront transformées en liquidités dans l’année à venir, incluant :
- Créances clients (sommes dues par les clients)
- Stocks (valeur des biens détenus)
- Disponibilités (liquidités en caisse ou en banque)
- Passifs circulants : ce sont les obligations à court terme, incluant :
- Dettes fournisseurs (sommes dues aux fournisseurs)
- Dettes fiscales et sociales
- Autres dettes à court terme
Exemple de calcul :
Supposons qu’une entreprise ait les informations suivantes :
- Actifs circulants :
- Créances clients : 30 000 €
- Stocks : 20 000 €
- Disponibilités : 10 000 €
- Passifs circulants :
- Dettes fournisseurs : 25 000 €
- Dettes fiscales : 10 000 €
- Autres dettes à court terme : 5 000 €
Calcul du BFR :
BFR=Actifs circulants−Passifs circulants=60 000 €−40 000 €=20 000 €
Dans cet exemple, le besoin en fonds de roulement est de 20 000 €.
Interprétation du BFR :
- BFR positif : L’entreprise a besoin de financements à court terme pour couvrir ses opérations, ce qui pourrait indiquer une situation de liquidité délicate.
- BFR négatif : L’entreprise a plus de passifs circulants que d’actifs circulants, ce qui peut indiquer une bonne gestion des ressources et une capacité à couvrir ses obligations à court terme.
10- Indicateurs financiers généraux
Il existe de nombreux indicateurs financiers généraux qui, bien que moins spécifiques, offrent une vision globale de la santé financière de l’entreprise. Parmi eux, on trouve le ratio d’endettement, le retour sur capitaux propres (ROE), et le ratio de rotation des stocks.
Ces KPIs fournissent des informations précieuses sur la performance financière globale et la viabilité de l’entreprise à long terme. En suivant ces indicateurs, les dirigeants peuvent porter un jugement éclairé sur la santé globale de leurs finances et apporter des ajustements stratégiques si nécessaire.
Surveiller de près ces 10 KPIs financiers permettra à toute entreprise de mieux comprendre sa performance économique et de prendre des décisions informées pour assurer une croissance durable. Qu’il s’agisse de rentabilité, trésorerie, ou cash-flow, chacun de ces indicateurs joue un rôle clé dans le succès stratégique et opérationnel.
Les entreprises performantes savent utiliser ces outils pour naviguer les complexités du marché et maximiser leur potentiel de croissance. Avec une attention constante et une analyse régulière, elles peuvent garantir une stabilité financière et saisir les meilleures opportunités d’expansion.